vendredi 29 mai 2009
THE LOVERS
LES ARISTOCHATS
LE PEUPLE DES ABIMES
L'AUTRE ENFER
LE POIGNARD VOLANT
CARTOUCHE
LA 36 EME CHAMBRE DE SHAOLIN
FLEURS D'EQUINOXE
LES DENTS DE LA MER 2E PARTIE
LE CHATEAU DE L'ARAIGNEE
BLOOD & BONES
BLOOD & BONES (Chi To Hone) de Yoichi Sai (2004)
En 1923, Kim Shum, un jeune paysan, quitte son île natale, au sud de la Corée, et débarque en bateau à Osaka, au Japon. Son obsession : faire fortune. En soixante ans, cet homme aussi brutal que charismtique connaîtra la richesse et le pouvoir, mais se condamnera à la solitude, puisqu’il n’aime que ce qu’il a détruit…
Un drame bien déprimant avec Beat Takeshi qui passe son temps à être une vraie brute avec les membres de sa famille. Quand il ne bat pas ses gosses, il viole sa femme et engrange son pognon pour lui tout seul. Tout ceci est bien répétitif et guère passionnant. Assez ennuyeux même! Un drame bien lourd et sacrément long (2h20 au compteur!).
L'AVENTURE DU POSEIDON
HAUTE SOCIETE
LA FELINE
Un classique de l'épouvante suggéré, magnificié par la mise en scène de Jacques Tourneur et tourné dans un noir/blanc somptueux. La beauté triste de Simone Simon est envoûtante et les séquences incluant l'intervention du fantastique n'ont rien perdu de leur intense pouvoir de fascination. Une perle!
EXPOSE
VENUS IN FURS
L'HOMME QUI RETRECIT
FACTOTUM
FACTOTUM de Bent Hamer (2005)
L’histoire d’un homme libre qui vit résolument en marge, un écrivain prêt à prendre tous les risques pour que sa vie devienne sa poésie. Une bio de Bukowski interprété par un Matt Dillon exceptionnel. Une suite de saynètes magnifiques car drôles et touchantes. Parfaitement mise en scène d'où ressort toute la mélancolie et la poésie des écrits de son auteur. Un grand plaisir aussi de revoir Lili Taylor et Marisa Tomei dans leurs rôles d'amours passagères... Un chef-d'oeuvre à voir et à revoir.
LES MOISSONS DU CIEL
LES MOISSONS DU CIEL (Days Of Heaven) de Terrence Malick (1978)
Bill, ouvrier en fonderie, sa soeur Linda et sa petite amie Abby quittent Chicago pour le Texas où ils sont embauchés dans un grand domaine... Toute la beauté du cinéma de Malick. Un joyau d'émotions. Un bonheur de cinéma!
MORTAL KOMBAT
THE BLADE
L'HOMME DES CAVERNES
GRIZZLY
Comme la jaquette l'annonce, c'est "Jaws with Claws" (LES DENTS DE LA MER avec des griffes).Dans ce film, les conventions du genre sont scrupuleusement respectées mais le script donne vie à de bons personnages qui ont du "corps" et ne sont pas de simples chair à pâtée. La mise en scène ménage de très bons moments, entre intimité des personnages et scènes d'action avec un vrai animal et non un gars grimé dans un costume de Grizzly. Le film gagne ainsi en authenticité et en réalisme et ne part pas dans l'invraisemblance la plus totale. Bien que le Grizzly va chercher sa proie en détruisant une cabane de forestier ou bien un mirador, ou encore à s'attaquant à un hélicoptère , GRIZZLY n'est pas un film qui prête à sourire. C'est un film d'horreur dans la bonne tradition, bien exécuté et très efficace.
WALLACE ET GROMIT : LE MYSTERE DU LAPIN-GAROU
LA SCANDALEUSE DE BERLIN
DIAMANTS SUR CANAPE
PUMP UP THE VOLUME
PUMP UP THE VOLUME de Allan Moyle (1990)
Adolescent timide et solitaire le jour, Mark Hunter devient chaque soir le disc-jockey subversif d’une radio pirate. Sa rage et sa vision cynique de l’univers qui l’entoure trouvent un écho chez les lycéens de la ville, mais Mark tient à garder l’anonymat. Très vite, il devient la voix de la rébellion, provoquant l’ire de l’administration et l’intérêt grandissant d’une élève, Nora Diniro, bien décidée à découvrir qui se cache derrière cette voix insolente…
Petit classique du film sur l'adolescence et les années collège où un ado mal dans sa peau crée une radio-pirate pour parler des problèmes de sa génération et son mal de vivre.Une petite perle du genre, ce film-manifeste n'a rien perdu de son impact et est toujours aussi passionnant à suivre. Christian Slater y trouve l'un de ses meilleurs rôles et le film nous permet également de découvrir au cinéma pour la première fois, la très mignonne Samantha Mathis. Un film phare et culte de mon adolescence!
LA MORT EN LIGNE
Un soir, Yumi est témoin d’un étrange incident. Son amie Yoko reçoit un message identifié comme émanant de son propre téléphone, mais daté de trois jours plus tard. Yoko reconnaît sa propre voix sur l’enregistrement : un cri d’effroi qui lui glace le sang. Elle raccroche et tente de ne plus y penser. Mais trois jours plus tard, Yoko meurt à l’heure et dans les conditions exactes du message prémonitoire. Au lycée, un événement similaire se produit quelques jours seulement après la mort de Yoko. Un élève disparaît dans des circonstances inexplicables. A chaque nouvel appel, la sonnerie et le message spécifiques annoncent une mort certaine à leur destinataire, avec la date et l’heure exactes. Yumi décide d’enquêter. D’autant que sa meilleure amie Natsumi a elle-même reçu un appel fantôme…
Miike se lance dans un projet plus mainstream que d'habitude avec cette histoire que l'on semble avoir vu mille fois, resucée d'un genre dont RING ou PHONE ont épuisé les ficelles de la peur.Rien de bien trépidant à voir, donc. Film très cliché et bourré des poncifs du genre, Miike exécute son travail en offrant le minimum syndical. Il ne se creuse pas la tête pour innover un peu et se permet même de nous offrir une dernière demie-heure de "Houuuu, fais-moi peur!" ronflante à souhait. Difficile de ne pas lutter contre l'inévitable fermeture des paupières. Un film où les baillements sont rois.
WOLF CREEK
UNE CREATURE DE REVE
UNE CREATURE DE REVE (Weird Science) de John Hughes (1985)
Deux lycéens pas populaires ne parviennent pas à être acceptés par leurs camarades (et surtout par les filles) malgré tous leurs efforts. Ils créent alors un programme informatique qui donne naissance à la femme parfaite. Grâce à cette invention, ils doivent retrouver confiance en eux…
John Hughes. Le maître dans l’art du film pour adolescent. Le seul scénariste-réalisateur à avoir su capter avec justesse, délicatesse et sensiblité les torments de l’adolescence. Un petit bémol, tout de même, pour UNE CREATURE DE REVE qui est plus un gros délire un peu (et même beaucoup) con qu’autre chose mais qui à le mérite de me faire rire à chaque fois que je le vois. Tordant mais définitivement pas une œuvre référence de Hughes bien que sa sensibilité s’y retrouve parfois. Sous l’influence du producteur Joël Silver, Hughes ne pouvait que livrer un produit dans la mouvance de la comédie teenage mais en y insufflant un vent de folie qu’on a rarement retrouvé dans d’autres œuvres du genre.
RECONSTRUCTION
RECONSTRUCTION de Christoffer Boe (2003)
Dans les rues de Copenhague, Alex, photographe, croise le regard d’Aimée : c’est le coup de foudre. Abandonnant soudain Simone, sa compagne, il se met à suivre cette parfaite inconnue qui l’a bouleversé et qu’il est persuadé d’avoir rencontrée en rêve. Ils deviennent amants le soir même. Mais le lendemain, Alex se retrouve projeté dans un véritable cauchemar : ni ses voisins, ni Simone, ni même son père ne semblent le reconnaître… Il n’a plus d’appartement, plus de repères, plus d’identité. Sa rencontre avec Aimée, la nuit précédente, aurait elle transformé le monde qui l’entoure ? Seul Aimée pourra apporter un début de réponse à Alex. Mais pas forcément celle qu’il attend…
Une autre histoire d’amour, cette fois-ci déconstruite pour être mieux mise à nu, flirtant avec le fantastique, se révélant également superbe dans sa mise en forme (superbe utilisation de la musique) que dans le fond. Deux acteurs talentueux, dont la belle Maria Bonnevie au visage angélique que l’on est pas prêt d’oublier. Caméra D’Or à Cannes 2003.
QUAND PASSENT LES CIGOGNES
QUAND PASSENT LES CIGOGNES (Letyat Zhuravli) de Mikhail Kalatozov (1957)
A Moscou, en 1941, Veronika et Boris s’aiment. Mais quand le pays rentre en guerre, le jeune homme s’engage et part pour le front russe. Veronika, sans nouvelles de son fiancé et confrontée aux avances du cousin de Boris, est de plus en plus seule et désemparée. Pourtant, elle atend et espère toujours le retour de celui qu’elle aime. Trouvera-t-elle la force de faire les bons choix et de survivre à la séparation ?…
Quand le réalisateur de SOY CUBA se met à nous conter une histoire d’amour, il le fait avec de grands élans stylistiques, une mise en scène riche, exceptionnelle, aérienne… De la beauté pure, triste, incroyablement émouvante. Du cinéma spectaculaire dans la description de l’amour. Cruel, infini, bouleversant. Une merveille. Palme D’Or à Cannes 1958.
ZEBRAMAN
PETITS MEURTRES ENTRE AMIS
Ce premier film du réalisateur de TRAINSPOTTING vieillit vraiment très bien. L'humour noir et l'ambiance sordide sont rendus de façon excellente par une mise en scène pleines d'idées et un trio de comédiens vraiment excellent. J'y reconnais également aujourd'hui Peter Mullan dans un petit rôle de "méchant".C'est toujours un vrai plaisir de revoir ce film.
L'HOMME A LA CAMERA
SAVE THE GREEN PLANET
UNE AVENTURE
LES 7 FEMMES DE BARBEROUSSE
LES 7 FEMMES DE BARBEROUSSE (Seven Brides For Seven Brothers) de Stanley Donen (1954)
Le réalisateur de CHANTONS SOUS LA PLUIE et de CHARADE nous offre ici une joyeuse comédie musicale. De l'humour, des bons sentiments, des acteurs au top (merveilleux Howard Keel, sublime Jane Powell) et de très beaux décors. Le tout bien emballé par des chansons magnifiques et des séquences de danses vraiment extra (la construction de la ferme est un sommet). De quoi mettre de bonne humeur! Un vrai bonheur de film!
BODY SNATCHERS
La variation de Ferrara sur un classique de SF. Terrifiant film, d'une glaçante efficacité. Droit au but et à la mise en scène d'une précision chirurgicale. Ca fait plaisir de voir Gabrielle Anwar et superbe interprétation de la trop rare Meg Tilly."Où veux-tu aller? Où veux-tu fuir? Où veux-tu te cacher? Nulle part! Car il n'y a plus personne comme toi..."