DOMINO de Tony Scott (2005)
Tony Scott fait un film sur l'histoire de Domino Harvey, top-model et fille d'acteur qui vire dans le business des chasseurs de prime juste par esprit fun et histoire de s'amuser un peu. Le film donc s'inspire d'une histoire vraie... ou presque! De l'histoire véridique, tout ceci ne rentre jamais de façon approfondie dans le sujet et le survole plutôt qu'autre chose. Si on joue au petit maniaque, on se rend compte que l'on aurait pu aboutir à un film beaucoup plus barge que le résultat final qu'en a fait Scott. Tout ceci est finalement bien sage et l'histoire s'étire quand même un peu. Il lui manque une certaine audace scénaristique et du culot qui aurait pu transformer DOMINO en véritable bombe hardcore. Au final, Scott soigne plus la forme que le fond, souvent anecdotique. Si vous avez vu MAN ON FIRE, vous savez juste à quoi vous attendre. De l'efficacité, un pitch simple, des personnages carrés, une mise en scène ultra-léchée. Ici Scott pousse tout de même sa mise en images dans ses derniers retranchements et met à rude épreuve nos rétines car le film, visuellement parlant, est complètement fou, avec un montage très épileptique et des couleurs saturées. C'est du filmage sous acide et DOMINO peut être pris comme un gros trip visuel et sonore. Assez dément de ce côté-là! C'est même la meilleure façon de l'appréhender pour l'apprécier réellement. Et c'est là que l'on en retire tout le fun du concept. En résulte un film d'action assez sympa mais rien de bien transcendant. Une expérience assez particulière qui ne plaira pas à tout le monde, c'est sûr. On peut trouver cela insupportable très rapidement.
Tony Scott fait un film sur l'histoire de Domino Harvey, top-model et fille d'acteur qui vire dans le business des chasseurs de prime juste par esprit fun et histoire de s'amuser un peu. Le film donc s'inspire d'une histoire vraie... ou presque! De l'histoire véridique, tout ceci ne rentre jamais de façon approfondie dans le sujet et le survole plutôt qu'autre chose. Si on joue au petit maniaque, on se rend compte que l'on aurait pu aboutir à un film beaucoup plus barge que le résultat final qu'en a fait Scott. Tout ceci est finalement bien sage et l'histoire s'étire quand même un peu. Il lui manque une certaine audace scénaristique et du culot qui aurait pu transformer DOMINO en véritable bombe hardcore. Au final, Scott soigne plus la forme que le fond, souvent anecdotique. Si vous avez vu MAN ON FIRE, vous savez juste à quoi vous attendre. De l'efficacité, un pitch simple, des personnages carrés, une mise en scène ultra-léchée. Ici Scott pousse tout de même sa mise en images dans ses derniers retranchements et met à rude épreuve nos rétines car le film, visuellement parlant, est complètement fou, avec un montage très épileptique et des couleurs saturées. C'est du filmage sous acide et DOMINO peut être pris comme un gros trip visuel et sonore. Assez dément de ce côté-là! C'est même la meilleure façon de l'appréhender pour l'apprécier réellement. Et c'est là que l'on en retire tout le fun du concept. En résulte un film d'action assez sympa mais rien de bien transcendant. Une expérience assez particulière qui ne plaira pas à tout le monde, c'est sûr. On peut trouver cela insupportable très rapidement.
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